La direction générale du travail, comme l’ensemble des services du Ministère du travail, a été très impliquée depuis le début de la crise sanitaire à travers l’élaboration de textes normatifs :
Elle a aussi été mobilisée à travers la mise à disposition d’outils à destination des employeurs et des salariés. Parmi ces outils, le protocole sanitaire en entreprise a déjà fait l’objet de cinq modifications, à travers :
Le Ministère du travail a évidemment été très mobilisé à travers l’animation des services de l’inspection du travail.
L’inspection du travail est restée fortement mobilisée.
Dans un premier temps, il a fallu adapter les conditions d’intervention à la situation sanitaire pour protéger les agents dans leur intervention.
L’inspection du travail est aussi intervenue pour protéger la santé des salariés, à travers 55 000 contrôles qui ont fait l’objet de 350 mise en demeure, suivies dans 93% des cas de mise en conformité par les entreprises concernées.
Ces contrôles ont porté essentiellement sur les questions de santé et de sécurité au travail, mais pas seulement. Ils ont également porté sur :
Dans un dernier temps l’inspection du travail a été très mobilisée sur le respect, par les entreprises, de l’obligation de recourir au télétravail pour l’ensemble des activités réalisables à distance.
63 accords de branche et 8 600 accords d’entreprise ont été conclus depuis le début de la crise sanitaire sur des thématiques aussi variées que la prévoyance, la formation professionnelle, les congés payés ou le recours à l’activité partielle de longue durée. Sur ce seul dernier sujet, 6 accords de branche ont été conclus ainsi que 2 200 accords d’entreprise. Cela démontre la mobilisation des partenaires sociaux pour faire du dialogue social, un outil de gestion des conséquences de la crise sanitaire, pour les entreprises et les salariés.
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